HCR - Mon oeil

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Les victimes de harcèlement électronique  bombardées  de signaux de toutes sortes perdent des degrés d’acuité visuelle à toute vitesse. Un assèchement de l’œil  provoque une rapide cataracte du cristallin.
Très vite, on ne voit plus les panneaux routiers,  ni les plaques des rues. Le monde perd ses couleurs. Les objets leurs contours.
Dans des cas d’attaques par ondes de type radar, la cataracte se forme, parait-il,  souvent  sur la rétine.

La 1ère opération de la cataracte du cristallin  avait eu lieu presque  discrètement. Le réseau crapuleux de l’endroit avait   raté   l’ information et aussi la préparation de ses habituelles niaiseries. J’avais eu presque  la paix.
Organisé souvent  à  huit jours d’intervalle,  le  2ème  passage en clinique * (1) était donc prévisible tout comme d’éventuelles habituelles brimades adaptées à la situation.
Pendant l’opération sans sédation générale, le spécialiste avait râlé. Quelqu ‘un avait eu le culot de lui prendre 3/4 d’heure de son temps , qu’il aurait pu sinon passer  à gagner 3 fois 40 euros. Comme le ¼ d’heure de consultation est à plus de 80 euros, 40 euros représentent sans doute  le bénéfice.
Sur ces bonnes paroles , l’intervention terminée, il avait arrosé l’œil d’ une généreuse giclée d’un liquide qui brûlait . Le tout conservé sous pansement . Et  il avait filé.
Et ça brûlait . Et ça brûlait. Cette sensation avait duré  jusque tard dans la nuit. Une nuit, par ailleurs, sous tirs d’énergie. En clinique.* (1)
Le lendemain, cet œil-là  ne voyait que  cotonneux. J’étais borgne . Je versais l’eau à côté du verre. je ratais les dénivellations de trottoir et je marchais  dans la rue en bousculant. Sans équilibre.


Un passage en urgence en   hôpital   avait montré  un œdème de la cornée,  la présence de fils  inutiles , une vision de 1/10. 
Par courrier, le  chirurgien avait été interrogé sur le nom et l’utilité du produit qui avait inondé et brûlé l’œil.
Sa réponse avait été qu’il n’y avait eu aucun  produit ajouté. Sous- entendant que je mentais ou affabulais voire que je  perdais la boule.


C’est ce qui fait ici penser à une participation de harceleur dans le cadre de sa fonction. Car ce geste  d’asperger l’œil était aussi précis que celui de l’incision ou de l’application du pansement. 
Or, cet ajout de produit n’avait pas eu lieu la première fois . Ce geste  était sadique. Comme la dénégation était   suffisante et arrogante. On peut y ajouter aussi l'usage des fils (suture) qui irritent l'oeil en continu. Car comme l'indique un déroulement d'opération lambda

Étape 8 : Une suture peut être réalisée par sécurité (moins de 1% des cas), notamment lorsque la taille de l'incision est supérieure à 3 mm dans le cas d'implants particuliers.


Cette histoire, comme beaucoup d’autres  aussi, montre que  le monde médical n’est pas exempt de harceleurs cachés sous leur  apparente respectabilité,   obtenue par des études gratuites offertes par les contribuables.
Ma mère , victime de harcèlement en réseau , aussi , en avait fait les frais à plusieurs reprises. Lors d’une opération de la hanche , elle avait été dotée d’une prothèse trop longue. Elle boitait, avec des douleurs au genou et à la colonne vertébrale qui avaient été en empirant.
Suffisant , le chirurgien avait d’abord nié. Face aux évidences , il avait ensuite fallu écouter  la kyrielle des  «  ça n’est jamais arrivé avant «  «  c’est la première fois «  «  c’est un manque de chance «   «  il y a sans doute eu une erreur » De taille !

Plus tard, avec un cancer de la partie haute de l’estomac, ma mère  avait choisi de ne pas être opérée. Un oncologue de la clinique Labrouste avait accepté de l’accompagner au mieux,  selon ses choix. 
Puis un jour, il nous avaient convoquées en urgence dans son service au prétexte de lui ajouter une poche de sang . Pas de chambre individuelle, comme les autres fois. Une salle commune, avec d’autres perfusées.
La nuit et le jour suivants avaient été en douleurs et dégobillages. Impossible de joindre le médecin. J’avais fait le siège de sa consultation, jusqu’à ce qu’il me reçoive et qu’il le dise
Il avait pratiqué une chimiothérapie. Sans protocole. Sans prévenir la famille .Contre la décision de la malade. 
Son excuse :  «  des pressions « , refusant de les nommer. 
Comme si  n'avait jamais existé , l’article  36   du code de déontologie  des médecins qui dit : Lorsque le malade , en état d'exprimer sa volonté, ,refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade des ses conséquences . Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. 
La confiance  praticien/ patiente n’existait plus.  Au milieu des affres de la maladie, Il avait fallu partir à la recherche d’un autre spécialiste. 
La manip, ici encore,  était évidente . Les organisateurs du harcèlement en réseau n’acceptent jamais qu’une  situation devienne, simple, facile ou amicale , pour leur cible. En provoquant des  erreurs, des tensions , puis des réactions, ils entrainent le « pion » et la cible vers un conflit , espérant que le « pion » aura assez de relations importantes pour les amener à son tour dans un harcèlement collectif de vengeance sournoise.
Dans le monde médical , il y a   aussi ceux qui refusent d’entendre parler du harcèlement électronique pour ne pas avoir à le dénoncer  .
 Il y en a  aussi  d’ autres , couards, ou  sadiques ordinaires   non encadrés, qui pratiquent le harcèlement à la manière de certains fonctionnaires,  par habitude facile,  cachés derrière un nom de métier qui induit la confiance obligée. 
Et il y a les autres.  Heureusement. 
Bien sûr, toutes ces situations isolées font penser à la- faute- à- pas- de- chance . Mais  c'est l'observation attentive d'un contexte avec toutes ses répétitions malsaines , qui permet de classer ces faits dans une entreprise plus générale de harcèlement en réseau.

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