HCR- 2 minutes et demie pour une violation de domicile


Le temps de descendre aux boites aux lettres , un étage plus bas. 

Au retour, j’avais trouvé l’orchidée décapitée *. La fleur avait été jetée à l’arrière de la console. C’était un mauvais endroit. Plusieurs essais prouvaient qu’elle aurait dû tomber sur le côté de la console.

En complément , une pièce de 10 cents avait été jetée sous la même console.


On a , ici, la » technique de l’écho » , après l’article précédent  « les acharnés du tapis »  Cet article  listait , entre autres,   les interprétations probables des messages de type mafieux connus, et  déposés lors de violations de domicile . 
Cette violation de domicile-ci  avait  aussi laissé   les empreintes de deux doigts  sur la vitre de la porte fenêtre.

Cette photo difficile à faire, ne permet pas de voir 4 marques de  fines coupures très précises , signes de doigts abimés.
Pour connaître mon temps d’absence , il avait suffi de refaire le même trajet vers les boites aux lettres,  en le chronométrant. 2’1/2   ( deux minutes et demie sans courir). Pile poil.
Ce qui donne aussi et de nouveau , une information sur une personne en  extrême proximité, possédant la copie de mes clés,  et à l’affût de chacune de mes absences.
Il y a quelques temps un harceleur de ce groupe de proximité  avait remis une sonnerie dans le couloir au moment où je quittais mon appartement . 
De peur que la voisine  ne rate une occasion de pénétrer chez moi   ?   
On peut constater  ici encore,  que la bêtise, l’habitude impunie faite de protections diverses , l'intérêt  et la méchanceté naturelle sont les ingrédients de base des pions manipulés par un réseau d’( également) habitués à " faire faire"
Ici,  le "faire faire", par des petits dominants locaux,  est sans doute un mix de vengeance hargneuse  et de misogynie et  servi  dans ce cas précis  par une femme ou sa famille  et grâce à sa location.
Le paradoxe de cette personne  âgée et de sa famille   qui utilise mon appartement  comme si elle en payait le loyer  et qui  dégrade mes affaires,  comme si tout lui appartenait  , tient au fait qu’elle trouve  le loyer de son appartement un peu cher. Alors même qu’elle n’a pas de respect pour le « un peu cher «  qui concerne les autres.  Faire dépenser de l’argent à une voisine  inconnue ( moi) par des vols et des dégradations ne lui pose  aucun problème .
Quant au membre de sa famille, violeur de domicile de femme seule ( moi)  qui habite ailleurs et qui  avait laissé, lui aussi ses traces chez moi grâce à une violation avec clés copiées  ,   il paraît  qu’il trouve son loisir, la pêche ,  également un peu cher. 
On pourrait peut-être en déduire qu’il vend  au réseau des organisateurs de harcèlement , son accès à l’immeuble où habite sa mère .

A ANGERS (49), 4 avenue Pasteur, les 2 minutes et demie ou presque,  d’une absence pour aller chercher mon courrier , un étage plus bas, avaient permis à l’un de mes voisins , 
- soit MARTIN employé à la DDE 
- soit DUTERTRE , retraité, 
de voler le carnet de chèque d’une association , dans une valise laissée ouverte sur le sol, à l’intérieur de mon appartement fermé à clé.

Cela supposait , une observation constante  de mes sorties  et un double de mes clefs d’appartement détenu en proximité. Le 3ème violeur attitré de cet immeuble  était l'employé de ménage de l'immeuble G. TOURET.
Le carnet de chèques sera retrouvé le lendemain sur la plage arrière de ma voiture, laissée en stationnement une rue plus loin ( environ 100 m) .
 Ce qui amenait à penser que,  soit l’un de mes deux voisins avait aussi la copie des clefs de mon véhicule ,  soit le carnet de chèques avait été transmis à un autre groupe de voyous, qui détenait   les copies de clés de mon véhicule. 
Les retraités voisins, Dutertre,  affichaient  opulence et manteau de vison . Tout comme les parents du jeune MARTIN avec appartement à NANTES  et à LA BAULE et manteau de vison pour la maman.
L’appartement  du 4 avenue Pasteur était situé dans le même immeuble  que les bureaux de l’Ordre des Avocats du 49. 
Cela m’avait permis de trouver l’avocate B. SUBLARD, en   plein exercice de violation, perruque sur la tête , paniquée , et en communication de détresse avec un correspondant, demandant  sa voie de sortie …….. de mon bâtiment  B, où elle n’avait rien à faire. Officiellement.
Pour caractériser ce phénomène de vengeances et violations en tous endroits ,  il faut se souvenir du cri d’un corse , transmis à la manière des lâches à la 3ème personne et indiquant la  connotation de type mafieux de cette histoire.
« on l’emmerde , parce que c’est une emmerdeuse » 
Cette accusation faisait croire à une sorte d'exception de cette situation retournée contre moi , comme si elle pouvait être justifiée. 
 Dans ma quatrième vie professionnelle, mon activité  m’avait amenée    à  prouver et dénoncer  des escroqueries et des  arnaques financières au sein de copropriétés.
La réflexion  du mafieux corse aurait pu indiquer   une excuse auto-accordée  à partir d’une  croyance à un droit  personnel et en réseau  à se venger,  par des gens qui ne reconnaissent pas et ne respectent pas le droit et la loi comme devant s’appliquer à tous et de la même façon,  et surtout ne supportaient pas qu’une femme , en plus, en soit la révélatrice.
C'était aussi  une expression d'intimidation mais également et peut-être un signe de gêne , d'être  comme "obligé" de s'attaquer à une femme seule et alors que c'est une activité peu glorieuse et dont, quelque part  n'importe quel homme d'honneur a peut-être  plutôt honte.

Le harcèlement en réseau se montre ici  basé sur la loi du talion d’une part et  la ruse,  la force, la brutalité ou la torture  d’autre part. Le harcèlement électronique, dans sa pratique de torture , en   est manifestement  l’expression  barbare . Elle sert des dominants  vengeurs ou profiteurs  et qui la couvrent par convenance .

HOMME D'HONNEUR = membre d'une mafia constituée
* Orchidée , est mon prénom en chinois

 Ici, dès le lendemain , une nouvelle violation de domicile avait servi à jeter une carte de visite sur le sol , près de la porte fenêtre. Ce qui manifestait, et de nouveau  :
- une observation constante de mes absences ,
- un droit à transgresser les lois, pour  exprimer de façon cachée et tout aussi lâche que d'habitude
- une volonté de domination par protections  locales assurées.

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